Je me présente
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				Zénitude
 
Je me présente
Bonjour à toutes et à tous,
Je me présente, puisque j'y suis invité avant de poser mes questions. Voici mon parcours de motocycliste. J'ai toujours (ou presque) roulé avec des motos bicylindres, plus coupleuses que les monos et différentes des "4 pattes" que je trouve uniformes, au moins du coté du son.
Ado, mon premier "bolide" fut une Honda 125 twin, ce qui donne une idée de mon âge. Ah, que j'étais fier de mon engin montant à 12 000 tours minutes. Moi, ça ne me suffisait pas, j'aimais sortir de la zone rouge jusqu'au jour où un segment est remonté... Plus tard il a fallu refaire de nouveau le moteur car les joints de queux de soupapes étaient tellement cuits que l'huile moteur noyait une bougie tout les... 10/15 bornes. Et là, elle marchait moins bien... L'huile remontait aussi côté cylindre droit et restait coincé sur le haut de la boite par la pression du vent (à côté du bouchon d'huile pour les connaisseurs) jusqu'à ce que je m'arrête. Aujourd'hui je me dis que pour l'époque, ils étaient sacrément solides ces moteurs.
C'était l'époque de la "confrontation" entre les 4 temps et les "cylindres à trous", par chez moi c’était entre Honda Twin et Suzuki GT. On tirait des bourres puis on débattait sans fin des avantages et inconvénients de chaque engin.
Suite à un grave accident (en 50cc, comme quoi) et un permis neuf, j'ai acheté en "épave" une Kawasaki KZ 750 B, donc bicylindre. Rare sont ceux qui en ont eu une à ma connaissance. Je n'en ai vu qu'une autre à l'époque. Une épave vite réparée en redressant l'arrière du cadre au... vérin hydraulique et à l'étais de maçon…
C'est cette moto qui m'a fait aimer les moteurs coupleux. Proche dans l'esprit de la Breva 750 et à l’époque des Nortons (c’était d’ailleurs l’argument marketing). Une fois en cinquième on ne touche plus à la boite. Le couple maxi était à 3 000 tours. Dommage que le réservoir ne fasse que 14 litres en tout. J'avais monté une bulle "Hugon" peinte en bas, le radiocassette autoreverse, pratique avec des gants, et la CB.
Avec cette moto j’ai participé à quelques concentres.
A la même époque, pour la semaine j'avais acheté une 125 Kawasaki KE trail. Un petit engin toujours prêt et volontaire. Grâce à son type d'admission rotative le moteur était d'une grande souplesse pour un 2 temps, mais fallait pas être pressé.
Arrêt de la moto une douzaine d'année, puis j'ai découvert un nouveau genre avec une Yamaha TDM 750 équipée. Première différence avec mes débuts: le confort, la maniabilité, le freinage. J'ai apprécié la polyvalence de ce genre de moto aussi à l'aise sur route que dans des chemins carrossables. Mais les mécaniques complexes pour moi, refroidissement liquide, 5 soupapes... n'est pas mon truc.
Je voulais changer d'horizon, avoir un cardan (marre des chaines), toujours 2 cylindres et pas une allemande ce qui réduisait le choix. A ce moment- là est sortie la Breva 750. Elle avait des caractéristiques « proche » de la Kawa 750 avec une « gueule » moderne et l’injection. Je me suis régalé avec elle. Que des éloges, même la boite semblait venir du japon… Et j’ai ajouté une bulle Guzzi. Bon côté couple, oui, il y en a, une fois passé la cinquième c’est comme sur la kawa, mais l’injection anesthésie un peu quand même. Mais plus de ralenti aléatoire.
Après de nouveau quelques années sans moto, cet automne je m’y suis remis. Là, l’âge aidant je voulais du spacieux, du confortable et du lourd tant que je peux encore. J’ai regardé vers une Goldwing 6 ou tant pis pour le bicylindre une Pan Européan ou une Breva 1100 ou 1200 cc ou peut-être une Norge. La Goldwing , j’ai laissé « tomber » pour ne pas tomber à la maison vu le chemin en pente et l’exiguïté du local de garage. Pendant ma recherche j’ai essayé un Guzzi sport pour voir et aller vite fait voir si elle rentrait dans mon local. Je m’orientais vers un Breva puisque je connaissais, et un jour, une annonce : pas très loin une Norge avec 1400 kms (donc avec la nouvelle distribution) et le top case. J’achète. Elle rentre dans mon local (sans les sacoches) mais faut presque sortir le Palmer mais ça passe. Quant à la pente du chemin, au retour surtout, j’arrive à manœuvrer en y mettant toute mon attention grâce au poids bien réparti.
Je suis très heureux de mon choix, c’est le pied juste en la regardant, alors imaginez quand je me balade. Et cerise, madame pas motarde a apprécié, que du bon.
Voilà ma présentation. Sans tarder je vais aller dans les rubriques poser mes questions. Une au sujet des rehausseurs de guidon et une autre sur la boite.
PS : certains pourront me dire que si je veux un moteur coupleux je peux rouler en Harley par exemple, mais là c’est le physique qui ne m’attire pas.
			
			
									
						
										
						Je me présente, puisque j'y suis invité avant de poser mes questions. Voici mon parcours de motocycliste. J'ai toujours (ou presque) roulé avec des motos bicylindres, plus coupleuses que les monos et différentes des "4 pattes" que je trouve uniformes, au moins du coté du son.
Ado, mon premier "bolide" fut une Honda 125 twin, ce qui donne une idée de mon âge. Ah, que j'étais fier de mon engin montant à 12 000 tours minutes. Moi, ça ne me suffisait pas, j'aimais sortir de la zone rouge jusqu'au jour où un segment est remonté... Plus tard il a fallu refaire de nouveau le moteur car les joints de queux de soupapes étaient tellement cuits que l'huile moteur noyait une bougie tout les... 10/15 bornes. Et là, elle marchait moins bien... L'huile remontait aussi côté cylindre droit et restait coincé sur le haut de la boite par la pression du vent (à côté du bouchon d'huile pour les connaisseurs) jusqu'à ce que je m'arrête. Aujourd'hui je me dis que pour l'époque, ils étaient sacrément solides ces moteurs.
C'était l'époque de la "confrontation" entre les 4 temps et les "cylindres à trous", par chez moi c’était entre Honda Twin et Suzuki GT. On tirait des bourres puis on débattait sans fin des avantages et inconvénients de chaque engin.
Suite à un grave accident (en 50cc, comme quoi) et un permis neuf, j'ai acheté en "épave" une Kawasaki KZ 750 B, donc bicylindre. Rare sont ceux qui en ont eu une à ma connaissance. Je n'en ai vu qu'une autre à l'époque. Une épave vite réparée en redressant l'arrière du cadre au... vérin hydraulique et à l'étais de maçon…
C'est cette moto qui m'a fait aimer les moteurs coupleux. Proche dans l'esprit de la Breva 750 et à l’époque des Nortons (c’était d’ailleurs l’argument marketing). Une fois en cinquième on ne touche plus à la boite. Le couple maxi était à 3 000 tours. Dommage que le réservoir ne fasse que 14 litres en tout. J'avais monté une bulle "Hugon" peinte en bas, le radiocassette autoreverse, pratique avec des gants, et la CB.
Avec cette moto j’ai participé à quelques concentres.
A la même époque, pour la semaine j'avais acheté une 125 Kawasaki KE trail. Un petit engin toujours prêt et volontaire. Grâce à son type d'admission rotative le moteur était d'une grande souplesse pour un 2 temps, mais fallait pas être pressé.
Arrêt de la moto une douzaine d'année, puis j'ai découvert un nouveau genre avec une Yamaha TDM 750 équipée. Première différence avec mes débuts: le confort, la maniabilité, le freinage. J'ai apprécié la polyvalence de ce genre de moto aussi à l'aise sur route que dans des chemins carrossables. Mais les mécaniques complexes pour moi, refroidissement liquide, 5 soupapes... n'est pas mon truc.
Je voulais changer d'horizon, avoir un cardan (marre des chaines), toujours 2 cylindres et pas une allemande ce qui réduisait le choix. A ce moment- là est sortie la Breva 750. Elle avait des caractéristiques « proche » de la Kawa 750 avec une « gueule » moderne et l’injection. Je me suis régalé avec elle. Que des éloges, même la boite semblait venir du japon… Et j’ai ajouté une bulle Guzzi. Bon côté couple, oui, il y en a, une fois passé la cinquième c’est comme sur la kawa, mais l’injection anesthésie un peu quand même. Mais plus de ralenti aléatoire.
Après de nouveau quelques années sans moto, cet automne je m’y suis remis. Là, l’âge aidant je voulais du spacieux, du confortable et du lourd tant que je peux encore. J’ai regardé vers une Goldwing 6 ou tant pis pour le bicylindre une Pan Européan ou une Breva 1100 ou 1200 cc ou peut-être une Norge. La Goldwing , j’ai laissé « tomber » pour ne pas tomber à la maison vu le chemin en pente et l’exiguïté du local de garage. Pendant ma recherche j’ai essayé un Guzzi sport pour voir et aller vite fait voir si elle rentrait dans mon local. Je m’orientais vers un Breva puisque je connaissais, et un jour, une annonce : pas très loin une Norge avec 1400 kms (donc avec la nouvelle distribution) et le top case. J’achète. Elle rentre dans mon local (sans les sacoches) mais faut presque sortir le Palmer mais ça passe. Quant à la pente du chemin, au retour surtout, j’arrive à manœuvrer en y mettant toute mon attention grâce au poids bien réparti.
Je suis très heureux de mon choix, c’est le pied juste en la regardant, alors imaginez quand je me balade. Et cerise, madame pas motarde a apprécié, que du bon.
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- Centaurdedé
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				jean jacques 29
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Re: Je me présente
Si tu va a "ballade évènement" tu a un rasso sympa "Alpes 2015"Zénitude a écrit :Ben, merci à tous !! Et j'espère l'occasion de se rencontrer.
Si ça te tente
Jean Jacques
En Bretagne,la pluie ne mouille que les cons , aussi ; on s'efforce de rester sec !!!
1200 sport 2v (2007)
Side Chang Jiang (2020)
Et moi ;je n'ai pas de V85 . Na !!!
			
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